Source : Washington Post, Chico Harlan, Stefano Pitrelli
Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.
Bergame, Italie – La première vague est passée, des milliers de personnes ont été enterrées et dans une ville qui était autrefois l’épicentre mondial du coronavirus, l’hôpital rappelle les survivants. Il leur fait une prise de sang, examine leur cœur, scanne leurs poumons et les interroge sur leur vie.
A raison de vingt personnes par jour, il mesure ce que le coronavirus a laissé dans son sillage.
« Comment allez-vous » a récemment demandé un médecin au patient suivant venant d’entrer, une femme de 54 ans qui ne peut toujours pas monter une volée de marches sans être essoufflée.Lire la suite
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