Source : South Morning China Post – 31/03/2013
Une archive intéressante sur les séquelles de SARS-1
En 2003, les habitants d’Amoy Gardens à Hong Kong se sont réveillés en découvrant que leur maison faisait la une des journaux du monde entier.
Un groupe de cas du terrifiant syndrome respiratoire aigu sévère (Sars) avait été découvert dans un quartier de Kowloon Bay. Une quarantaine a été ordonnée, mais au moment où l’épidémie s’est propagée, 42 des 329 résidents d’Amoy Gardens infectés étaient morts.
Dix ans plus tard, en 2013, un psychiatre a ramené un groupe d’anciens patients atteints du Sars dans leur ancien domaine pour une séance de photographie – dans le cadre d’un suivi visant à aider les victimes à mettre la douleur de la pandémie derrière elles.Lire la suite