Source : The Conversation
Lorsqu’une personne tousse, parle ou simplement respire, elle projette de minuscules gouttelettes dans l’air ambiant. Les plus petites d’entre elles sont capables d’y flotter des heures durant. Or, de solides preuves scientifiques indiquent que ces gouttelettes peuvent contenir des coronavirus vivants, si la personne qui les a émises est infectée.
Jusqu’à la semaine dernière néanmoins, le risque lié à ces aérosols n’était pas pris en compte dans les recommandations officielles de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).Lire la suite
Source