2009 : quand France Télévision estimait que Bachar Al-Assad avait été trop rapide dans l’ouverture politique en Syrie
Il m’arrive souvent de penser que la plupart des journaliste « mainstream » ne relaient pas de la propagande volontairement, mais par ignorance ; ou plus exactement, par oubli. Ils souffriraient d’une sorte de syndrome de « poisson-rougisation », contaminés par le bombardement d’informations non hiérarchisées qui constitue la bouillie médiatique que leur hiérarchie leur demande de servir quotidiennement.