Christine Lagarde a été très claire : l’annulation des dettes publiques contractées en réponse à la crise sanitaire est « inenvisageable ». Elle constituerait « une violation du traité européen qui interdit strictement le financement monétaire des États[1] ». Seule, au milieu de la tempête, la présidente de la BCE entend donc maintenir fermement le cap de l’orthodoxie monétaire, […]
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