C'est en tout cas une question que l'on peut se poser...
Rappelez-vous, l'article du journal Le Monde du 15/03/2020 dans lequel il révélait ceci : « Selon ces modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance, l'épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l'absence de toute mesure de prévention ou d'endiguement, de 300 000 à 500 000 morts. Cette modélisation a été réalisée par l'épidémiologiste Neil Ferguson, de l'Imperial College à Londres. » L'épidémiologiste Neil Ferguson fait justement partie de l'équipe ayant aussi conseillé le gouvernement britannique. E. Macron aurait-il voulu suivre la politique du Premier ministre Boris Johnson qui a décidé de favoriser une éventuelle émergence d'une "immunité collective" ? C'est une possibilité, en tout cas, cela expliquerait les incohérences dans les décisions prises ces jours derniers et surtout la lenteur dans la mise en place d'un confinement total digne des enjeux. Le principe de l'immunité collective : DATA : Face au coronavirus, le pari mortel de l'immunité collective Le Vent Se Lève : l'immunité collective, une stratégie mortelle ! Plainte contre Edouard Philippe et Agnès Buzyn Le personnel médical, qui est en première ligne, veut des comptes, il veut que les politiques s'expliquent et endossent la responsabilité de ce qui se passe et surtout de ce qui va se passer. « Cette affaire, il faudra qu'on s'explique un jour… faudra qu'on en parle » Philippe Juvin (Professeur en médecine) « Il y a encore un peu de marge [pour accepter le flux des malades gravement atteints du virus], 1, 2 ou 3 jours ! », « C'est une économie de santé de pays sous-développés », « Je suis dans l'incapacité de vous dire combien même de patients il y a en France », faisant référence en disant cela à l'absence de tests systématiques comme le demande l'OMS.
Le témoignage de Philippe Juvin
« C'est une économie de santé de pays sous-développés » Philippe Juvin (Professeur en médecine) Extrait du journal de 20 heures diffusé sur TF1 le 19/03/20 Voir d'autres vidéos de TF1 : https://www.tf1.fr/tf1/replay Crédit vidéo : TF1 Publiée par La vraie démocratie sur Vendredi 20 mars 2020
« On va faire tomber des têtes, parce que là on va demander des comptes, moi, je demande une commission d'enquête » « Il va falloir que l'administration française rende des comptes sur son incurie et sur son incapacité à gérer une crise », « … C'est de la haine » Dr ; Jean-Paul HAMON
Le médecin Hamon s'indigne contre la Macronie : « L'État français devra rendre des comptes et je demande une commission d'enquête » ⚠️RT le plus possible pour demander cette commission d'enquête⚠️pic.twitter.com/ASXO4Z45RK — ❗️ ?????????????™️❗️ (@EnModeMacaron) March 20, 2020
Wuhan abrite un laboratoire P4, réalisé par la France, pour créer des armes biologiques Didier Maïsto complotiste ? Attendez de voir sa vidéo...
JOURNAL DES CONS, FINEMENT Prologue Durant des années, nous fûmes attaqués, salis, traités de tous les noms : populistes, extrémistes, plus récemment complotistes et conspirationnistes. Nous ? Cette petite frange de citoyens qui prétendument pensait « en dehors des clous ». Des clous plantés par les adorateurs zélés d'un système complètement marteau. De petites mains frénétiques en tenaient fébrilement le manche. En tenaient, en tiennent… et peut-être en tiendront. Quelle est notre faute ? Avoir combattu de toutes nos forces l'Europe de Maastricht, la Constitution européenne- refourguée par petits morceaux par une classe politique et des médias nous assénant que le peuple était décidément trop con pour comprendre les enjeux d'un référendum. Nous avons tout autant alerté sur la dépendance quasi totale à la Chine, vendue par Jean-Pierre Raffarin comme un nouvel Eldorado, comme sur l'extra-territorialité du droit américain, qui permet de nous dérober nos fleurons industriels. Alstom est à ce titre un cas d'école, une école dont nous sommes les cancres hébétés, alors que nous disposons des meilleurs élèves. Il y eut le sang contaminé –et le tristement célèbre « responsables mais pas coupables ». Il y eut le nuage de Tchernobyl, qui n'avait pas franchi les Alpes.
Il y eut le Mediator, qui fit des milliers de victimes, avec une Agence de Santé noyautée par des lobbyistes qui finançaient la vie politique, droite et gauche confondues et qui firent les ministres de la Santé.
Il y a aujourd'hui la gestion du coronavirus, qui vient conclure 40 ans de saloperies. 40 ans de crime contre l'humanité. Ce virus s'est fait jour à Wuhan, où se situe un labo P4 installé par la France en grande pompe, par le Premier ministre Bernard Cazeneuve, accompagné d'Yves Lévy, p-dg de l'Inserm, ci-devant mari d'Agnès Buzyn, recasé depuis conseiller juridique du gouvernement, alors qu'il n'a jamais fait de droit. Comme l'écrit Antoine Izambard, dans son ouvrage « France-Chine : Les liaisons dangereuses » (éditions Stock), des informations ont été remontées par les services de renseignement hexagonaux et américains qui soupçonnaient la Chine, au début des années 2000, de ne pas être totalement transparente dans sa démarche. « Ils avaient des craintes légitimes sur le fait que la Chine se serve de ce laboratoire P4 pour créer des armes biologiques », précise Antoine Izambard à 20 Minutes. « La Chine avait promis qu'elle construirait cet unique laboratoire mais, depuis, il a été établi qu'elle avait caché la construction d'autres laboratoires P4 sur son territoire, notamment l'un dédié aux animaux à Harbin. Son faible niveau de sécurité avait été pointé du doigt par plusieurs visiteurs français », souligne l'auteur, tout en rappelant la persistance d'inquiétudes chez certains diplomates français. Contactés par le journal, ni l'institut virologique de Wuhan ni les différentes entreprises ayant participé à la construction du laboratoire P4 n'ont donné suite. Le seul responsable français travaillant sur le site, le microbiologiste René Courcol, a quant à lui indiqué être dans l'impossibilité de répondre à leurs questions en raison de son devoir de réserve. L'OMS explique pour sa part ne pas « pouvoir commenter de telles théories » mais la Direction générale de la Santé (DGS) précise qu'« aucun élément ne permet d'accréditer les allégations liant la crise sanitaire en cours à l'existence à Wuhan d'un laboratoire P4. » Nous sommes donc instamment priés de gober des chauves-souris, des serpents et autres pangolins, et d'oublier toute coïncidence, toute probabilité, sous peine d'être rangés dans la case « complotistes » et voués aux gémonies. Empruntons donc l'escalier au flanc du Capitole et contemplons les cadavres des suppliciés avant de les traîner jusqu'au Tibre. Telle est la sacro-sainte loi médiatico-politique, édictée par les Cymès et Aphatie de tout poil, prière de ne regarder ni du côté de Bergame, ni du côté de Milan. « E pericoloso sporgersi », peut-on lire sur les vitres des trains italiens : il est dangereux de se pencher. Ne regardez pas ! Il s'agit d'éviter tout vertige et de bien ingurgiter les consignes gouvernementales. Gouverne-Mental. Le 12 mars, Blanquer assurait qu'il n'y avait aucune raison de fermer les écoles. Elles fermeront quelques heures plus tard.
La veille, Jupiter prononçait un de ses discours absurde et grandiloquent dont il a le secret : « Nous ne renoncerons à rien, surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer, surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d'été, surtout pas à la liberté ». Le 14 mars, Edouard Philippe annonçait un début de confinement.
Deux jours plus tard, c'est le peuple qui était sévèrement tancé : vivement encouragé à sortir par le président de la République et son épouse en goguette sur les Champs-Elysées, le 9 mars, il était soudain traité d'irresponsable, n'appliquant pas les consignes contradictoires. En même temps. Dehors-dedans ou dedans-dehors, c'est au choix. Martin Hirsh, Monsieur Salpêtrière, y ajoutait sa pincée, se transformant définitivement en Monseigneur Pitié : « Je supplie l'ensemble des Français d'appliquer les mesures annoncées ». Prière de suivre en temps réel, car le courant est alternatif. AC/DC. Assez d'essais. Assez décès.
Puis vint Madame Buzyn et sa « mascarade » : prise de remords, elle confiait au Monde que les autorités n'ignoraient rien du « tsunami » qui arrivait, avant de rétropédaler car la journaliste Ariane Chemin aurait mal déroulé son fil.
Mais l'essentiel était de voter pour « sauver la démocratie », armé de son stylo bleu ou noir. Pas de masques, ça ne sert à rien. Surtout quand on ne peut pas en fournir. N'en jetez plus, la coupe est pleine. Destruction méthodique des services publics, efficacité des marchés financiers louée à des tarifs exorbitants, restriction de la liberté d'expression. Car ne nous y trompons pas, c'est bien la gestion de notre avenir que nous sommes en train de confier à ces fous dangereux qui ne se sont trompés que sur l'essentiel. « Fake news », « complots », delirium tremens, voilà désormais ce qui sera officiellement sanctionné. Nous sommes une nouvelle fois contraints d'accepter, oui, la vérité officielle, laquelle peut varier de journée en journée et même d'heure en heure. Loi Avia, reconnaissance faciale, croisement des fichiers de données, restriction des contenus et du débit sur les plateformes pour participer à l'effort de guerre, car Monsieur Macron l'a dit, « nous sommes en guerre ». Vous pouvez sortir. Ah non, vous ne pouvez plus. Vous devez rester confinés, à l'exception de toutes les exceptions. Notez le bien : le confinement signe l'échec de nos politiques publiques, c'est un dernier recours, la panique : comme on a été incapables de protéger la population en pratiquant des tests massifs, on parque tout le monde et on essaie en bout de chaîne de sauver les plus fragiles, dans des hôpitaux totalement saturés, avec un nombre de respirateurs artificiels très insuffisant. Nous faisons aussi mal que l'Italie, avec quinze jours de retard. Etait-ce inéluctable ? Est-ce un mauvais procès fait à « l'élite qui nous gouverne » ? Loin s'en faut ! Prenons l'exemple de la Corée du Sud. A ce jour, la Corée ne compte que 8600 cas confirmés et le taux de mortalité est faible, avec 94 décès. Pourquoi ? Parce qu'il y a déjà une semaine, 290000 personnes avaient été testées, ce qui a permis d'identifier les 8000 cas, dans un pays qui compte 50 millions d'habitants. Leur capacité ? 60.000 tests par jour, quand nous n'en réalisons que… 2500. C'est bien le dépistage massif qui caractérise l'action de la Corée du Sud. « Notre énorme capacité à faire des tests nous permet d'identifier les patients au plus tôt et de minimiser les effets néfastes », déclarait aux medias le ministre coréen de la Santé Kim Ganglip. Si les écoles sont fermées pour encore quelques semaines, la stratégie de la Corée du Sud ne repose pas dans le confinement total de sa population comme en Chine, en Italie ou en France. Le confinement est individualisé et précis : si une personne est malade ou soupçonnée de l'être, alors on l'isole, puis on la teste. Si le test est positif, la personne infectée est littéralement tracée grâce à la technologie –bornage téléphonique, achats réalisés par carte bancaire, vidéosurveillance- afin que soient identifiées toutes les personnes avec lesquelles elle a pu être en contact. Ce n'est pas la panacée mais quitte à être surveillés, que ce soit au moins pour la bonne cause et que cela serve à quelque chose et en l'occurrence à sauver de nombreuses vies. Enfin, la population est prévenue lorsqu'un cas de contamination est proche ou lorsque les personnes ont pu être en contact avec une personne infectée. Bref, la Corée est encore un pays et pas seulement une zone de transit. Sa législation a été adaptée il y a 5 ans pour anticiper et réagir sans attendre. Relevons que le personnel soignant n'est pas infecté, notamment parce que lesdits tests sont réalisés par un réseau de laboratoires accrédités qui réalisent le dépistage dans des chambres à pression négative qui endiguent la propagation de l'agent pathogène. « Soyez libéraux, soyez socialistes mais ne soyez pas menteurs », écrivait Jacques Rueff. En clair, le « en même temps » ne peut être chose qu'un mensonge. Il n'est pas nouveau, il a simplement été objectivé par cet exécutif, avec un cynisme décomplexé et une morgue conquérante. Mais nous voilà rassurés : Christophe Castaner et le préfet Lallement veillent, verbalisent et nous délivreront du mal. Amen ! Publiée par Didier Maïsto - Toute vérité est bonne à dire sur Vendredi 20 mars 2020
J'accuse macron ! Le Media Pour Tous, Vincent Lapierre se lâche ! Le scandale de la pénurie de masques Mirage de la mondialisation : On a arrêté de maintenir les stocks au motif que les entreprises chinoises étaient capables de produire des masques. Ironie du sort lorsque l'on connait l'origine du virus. Encore une pitoyable gestion du pays de la part du gouvernement. A lire aussi Les crises : [SCANDALE] Le gouvernement a liquidé les stocks de masques FFP2 de protection des soignants pour économiser Les connards qui nous gouvernent, « L'État compte les sous, on va compter les morts ». Frédéric Lordon n'y va pas par quatre chemins. Il fait le point sur la situation de notre système de santé actuel et prend la crise actuelle comme révélateur. Son article met notamment en accusation nos politiques néolibérales comme responsables de la situation de crise d'aujourd'hui. Comment se fait-il que des pays comme la Chine ou la Corée, raillés hier pour leur retard technologique ou sur système de santé publique, nous donnent aujourd'hui des leçons ? C'est le monde à l'envers ? En fait non, eux ont progressé pendant que nous régressions. L'article du 19 mars 2020 Pendant ce temps, en Italie "C'est l'horreur absolue, l'effondrement total d'un système", réagit le Professeur de la KULeuven Geert Meyfroidt dans "Het Journaal" sur la VRT. Meyfroidt est président de l'Association belge de médecine intensive. "Les collègues italiens sont clairs : ils ne peuvent pas gérer cela. Et il est clair qu'ils ne sont pas encore au sommet". https://www.rtbf.be/embed/m?id=2614467&autoplay=0 Des images fortes, des interviews interpellantes au coeur d'un hôpital italien.
Coronavirus :: Au cœur d'un hôpital italien
Des images fortes, des interviews interpellantes au coeur d'un hôpital italien. #Coronavirus #Covid19 Publiée par RTBF Info sur Vendredi 20 mars 2020
Pendant ce temps, à Londres Le coronavirus ne s'attaquerait qu'aux personnes âgées ou en mauvaise santé ? Tara Langston, 39 ans, témoigne…
Coronavirus : le témoignage d'une malade
« Jette ta cigarette, tu as besoin de tes p*** de poumons »
Tara Langston a 39 ans. Elle un message pour ceux qui pensent qu'on peut prendre le risque de sortir. Publiée par Loopsider sur Samedi 21 mars 2020
Et pendant ce temps, que fait le gouvernement ? Il en profite ! Le gouvernement aura pleinement mis à profit cette terrible pandémie. Rappelez-vous la réforme des retraites imposée à coup de 49.3, les élections municipales maintenues contre toutes attentes. Et bien c'est maintenant l'occasion pour lui de remettre en cause le droit du travail en imposant une vision toujours plus néolibérale avec son « projet de loi d'urgence », qui permet une remise en cause des 35 heures, le travail généralisé le dimanche et la possible suppression des congés d'été, tout cela jusqu'à une période indéterminée APRES la fin de la crise. Comme quoi, le malheur des uns… Intervention de la sénatrice Sophie Primas puis du sénateur Fabien Gay lors de la séance publique du 19/03/20. A lire : Projet de loi d'urgence : que le Conseil constitutionnel soit saisi !
Le projet de loi d'urgence
Et pendant ce temps, le Sénat vote « le projet de loi d'urgence » qui permet une remise en cause des 35 heures, le travail généralisé le dimanche et la possible suppression des congés d'été, tout cela jusqu'à une période indéterminée après la fin de la crise. Intervention de la sénatrice Sophie Primas puis du sénateur Fabien Gay Extrait de la séance publique du 19/03/20 Voir d'autres vidéos de Sénat : https://videos.senat.fr/index Crédit vidéo : Sénat Publiée par La vraie démocratie sur Vendredi 20 mars 2020
Alors que nous réserve le gouvernement Macron demain ? La loi martiale dans tout le pays, l'armée est déjà mobilisée après tout ? Les paris sont ouverts, faites vos jeux…
Voir en ligne : https://www.agoravox.tv/IMG/jpg/coronavirus-macron-laisser-mourir.jpg
