Source : Consortium News, Alan MacLeod, 20-12-2019
Nous aimons à penser que les journalistes sont de courageux diseurs de vérité qui s’opposent au pouvoir, écrit Alan MacLeod. En réalité, la plupart d’entre eux font partie d’énormes machines institutionnelles avec leurs propres objectifs.
Il est clair que les correspondants des grands médias américains ne sont pas des fans du gouvernement vénézuélien. Mais on les entend rarement parler aussi ouvertement de leurs partis pris.
Un correspondant basé à Caracas et travaillant actuellement pour le New York Times m’a dit officiellement qu’il utilisait des « trucs sexy » pour « accrocher » les lecteurs à des articles douteux diabolisant le gouvernement socialiste du Venezuela.Lire la suite
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