Océane, une femme en plein… A 2 :06, Océane, interrogée, assure : « il faut s'aimer et que les gens s'acceptent tels qu'ils sont… » Trop fort Océane ! La môme refuse sa réalité – être une femme – et se construit une identité catalogue parfaitement artificielle qui ne pourra faire illusion que si, comme tous les transformés, elle s'injecte des hormones masculines chimiques toute sa vie. Et l'on ne parle même pas des interventions chirurgicales multiples et mutilantes que ces personnes s'infligent juste parce qu'elles croient qu'être l'Autre, quitte à nier le biologique par des artifices, c'est vivre « plus juste » (sic). Pour sûr cocotte, c'est une « qualité de vie » qu'il serait dommage de ne pas proposer aux hétéros de base ! Ces derniers étant, par ailleurs, conspués de plus en plus par une communauté ultra minoritaire qui occupe le maximum du champ médiatique et visuel (par le net) et qui, par conséquent, s'adresse largement à la dernière génération de jeunes ados, filles et garçons, qui n'ont pas pigé que le passage fille / femme et garçon / homme était depuis la nuit des temps humains un moment toujours flou et souvent perturbant. On se cherche et l'on est embarrassé par les signes de sexualisation. Tout ça est normal. Océan… comme la mer, quoi. Enfin, peut-être aussi comme la « mère »… En portant une attention particulière sur le langage de ces deux femmes dans cette autre vidéo (ci-dessous), l'on remarque que tous les mots utilisés dans leur échange sont empruntés aux inventeurs de la nouvelle sémantique des indéfinis qui occupent de plus en plus les centres villes où l'on est essentiellement préoccupé par soi. Un monde où l'on n'hésite plus à inverser les lois du vivant au profit d'une construction faite de toute pièce, pathologiquement significative. Océane n'hésite pas à assurer que « si j'ai le droit de prendre de la progestérone en tant que femme, pourquoi je ne prendrai pas d'autres hormones !?? » Ben oui, ils sont comme ça les « trans » et tous ceux que le Réel dérange parce qu'ils ne parviennent pas à l'accepter, il suffit pour eux de consommer sa vie durant des hormones de synthèse pour se fabriquer une « nouvelle vie » ! C'est aussi simple que ça. S'interroger sur l'étrange et inquiétante transformation des croyances au moment où, de toute évidence, notre civilisation est arrivée à une phase de délitement général indéniable, ne semble pas un instant préoccuper ces gens femmes et jeunes gens qui se prennent d'une certaine façon pour des créateurs d'eux-mêmes. Qu'importe le monde, on va s'auto fabriquer et youpiiiii ! On se construit physiologiquement, artificiellement, et l'on cimente sa croyance, comme pour toute religion, par des dogmes savamment distillés par une petite partie d'intellectuels eux-mêmes en crise d'identité (la théorie de dame Judith Butler, une adepte de la "franch théory") . Cette religion de l'indéfinition a son lexique : Passer de « F to M » (en anglais, c'est mieux !), transiter (nouveau verbe inventé pour la cause) web-série (pour ma chaîne youtube « moi, ma vie, mon œuvre ») Construction sociale et politique (pour : affirmer qu'un mâle et une femelle ce n'est pas normal, mais une pure invention…oui, oui… ça osent tout…) Genré (pour éviter de nommer l'insupportable, c.à.d. homme ET femme) Racisé (pour : rester dans le flou et c'est supposé dire « noir », « rebeu » et sans doute « jaune ») Cisgenre + ( ??? on sait pas c'est quoi ça) Dysphorie (pour : ne pas être heureux). J'ai un petit faible pour la « dysphorie », terme totalement inventé par les fabricants de maladies « nouvelles » afin de balancer des molécules pour soigner les personnes qui sont un peu tristounettes chroniquement ! Il n'y a pas de petits profits et les LGBT++ cisgenres bla bla bla de ne rien comprendre à l'énorme manipulation opérée par cette autre religion mondiale qu'est le néo capitalisme qui exploite la fragilité psychologique de tous ces indéfinis afin d'en faire les combattants zombifiés pour l'avènement du Nouvel Homme adapté au Nouvel Ordre Mondial. Le Système les sacrifiera sans aucun état d'âme, c'est juste une question d'agenda, comme on dit dans les milieux du pouvoir d'influence insidieux. Océane, devenu en façade Océan, n'aura plus qu'à consacrer la totalité de sa vie à ce combat sociétal, organisé à dessein par d'autres, pour donner un sens la sienne. Et l'Histoire fera comme toujours, elle cramera les petits soldats d'une cause pathologique au moment où les lois du Vivant (les polarités qui tiennent notre monde et le cosmos) reviendront en force. On ne s'assoit pas éternellement sur la réalité. Pour les agités déjà pas mal régressifs de 68 l'Histoire aura mis un peu plus de 50 ans à remettre les pendules à l'heure. Les affaires de pédophilie en cours sont l'une des conséquences du sans limite et de la destruction de la fonction symbolique du Père que les événements du 19ème siècle avait transformé en père fouettard et en castrateur de femmes alors qu'initialement le Père était essentiellement le passeur de rites de grandissement et le garant de la stabilité du groupe et le défenseur des territoires. L'avènement de la Mère toute puissante (big mama) de notre époque, via le néo féminisme et le militantisme aberrant des indéfinis de tout poil, est la nouvelle crise psychotique d'un monde qui n'en finit plus de se vouloir éternel et tout-puissant. Le féminisme, autre mouvement habilement récupéré et fabriqué par les néo mondialistes américains, s'est répandu en France comme une pandémie bien plus destructrice du Vivant que n'importe quel virus à couronne. On pourrait conclure en proposant l'hypothèse suivante : Naître, grandir et disparaître restera le destin de toute humanité. Il faut des rites de passage pour faire le passage enfant vers adulte. Notre modernité à balayer tous ces rites au principe que ce qui est du passé est forcément facho, dépassé, phallocrate et donc, à anéantir. Pour que les happy fews de la « mondialisation heureuse » (entendons, ceux qui ne bossent jamais et s'enrichissent sur le dos d'autrui partout dans le monde) puissent continuer à vivre dans l'opulence, il faut disposer d'un cheptel, manipulable parce que hyper fragilisé. Les indéfinis et autres transformés sont le modèle à imposer partout. On réinvente le Vivant et pire, les Lois du vivant. On gomme la polarité (jour /nuit – froid / chaud – dur / mou… homme / femme) pour fabriquer une synthèse assez monstrueuse bourrée de chimie et disposant d'un langage à la « 1984 » (inversion des valeurs ontologiques du Vivant). C'est le règne du "en même temps" d'un certain petit pervers narcissique et psychorigide, gestionnaire de lui-même et sous fifre du club de la monnaie tout autant artificielle qui noie le monde. Et Océane qui eut pu être une mer calmée, belle, apaisée, mère ou pas, ne sera qu'un océan en tumulte permanent, agité de courant sous-jacents dont il/elle ignorera toute sa vie qu'ils furent pensés, créés et programmés pour des esprits fragiles comme le sien. Le monde de Peter Pan revu par la post modernité où l'on tente de faire croire que tout Passé est à balayer. Il faut se méfier des balayeurs d'anciens mondes, on sait comment finit leur "paradis"… On laissera les derniers mots à Onfray… il est agaçant parfois mais ne dit pas que des âneries non plus. https://fr.sott.net/article/33930-Michel-Onfray-La-theorie-du-genre-prepare-le-transhumain-objectif-final-du-capitalisme?fbclid=IwAR0RM86wAXfeISEXp_w-qbw-K5wE6Aw2HyO3EiDuJAbi5o2vvBQ2jSl8Z4w Bonne vie tranquille à tous…
Voir en ligne : https://www.agoravox.tv/IMG/jpg/ocean-monde-trans.jpg
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