Source : World Socialist Web Site, Andre Damon, 06-10-2018
En mars, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis, la section du département de la Défense qui supervise les forces spéciales américaines, a organisé une conférence sur le thème «La souveraineté à l’ère de l’information». La conférence a réuni des officiers des forces spéciales et des forces de police nationales, y compris des fonctionnaires du Département de police de New York et des représentants d’entreprises technologiques telles que Microsoft.
Cette réunion de hauts représentants de l’armée, de la police et des entreprises n’a pas été rapportée et n’a pas fait l’objet de publicité à l’époque. Toutefois, l’Atlantic Council a récemment publié un document de 21 pages résumant l’orientation des travaux. Il a été rédigé par John T. Watts, ancien officier de l’armée australienne et consultant auprès du département de la Défense et du département de la Sécurité intérieure des États-Unis.
Le rapport de l’Atlantic Council (La vérité de qui? Souveraineté, désinformation et gagner la lutte pour la confiance)
L’Atlantic Council, un groupe de réflexion étroitement lié aux plus hauts niveaux de l’État, a été un partenaire clé dans la censure de la gauche par les entreprises de médias sociaux. Plus particulièrement, Facebook a réagi sur la base d’une information fournie par l’Atlantic Council lorsqu’il a fermé la page officielle d’une manifestation antifasciste à Washington à l’occasion de l’anniversaire de l’émeute néonazie de l’an dernier à Charlottesville.Lire la suite
Source