Une semaine décisive - Réponse à Macron... à 20 Francs

Une semaine décisive - Réponse à Macron... à 20 Francs C'est la semaine de toutes les possibilités. En 2017 et pour des années il n'y en aura pas de plus importante. Bien entendu, on va me rétorquer qu'au fond nos vies ne changeront pas lundi prochain, et qu'il restera les législatives qui conditionnent la couleur politique de l'Assemblée Nationale. Petite digression là-dessus : cette assemblée devenue simple chambre d'enregistrement des directives bruxelloises, souvent vide d'ailleurs pour voter des textes cruciaux sur lesquels nos députés ont à peine la main, est une chambre qui n'a rien de nationale (de part les élus qui y siègent qui ont bradé la souveraineté et l'avis des français par le vote du traité de Lisbonne) ni démocratique puisque ignorant la réelle représentativité des opinions des français. Comment admettre que le quart de l'opinion se traduise... par 0,3% des députés ? Il faudra se demander cette semaine si l'on veut continuer dans ce déni de démocratie ou introduire de la proportionnelle comme c'est le cas chez certains de nos voisins. Je vous laisse deviner qui propose quoi sur le sujet. Mais malgré ce jeu aux règles faussées, malgré ces médias qui soufflent de concert dans les trompettes de Jéricho pour faire abattre les ultimes murs de notre pays, malgré l'arrogance des élites mondialistes qui jouissèrent la semaine passée, avant même la fin du scrutin, d'une victoire qu'ils estimaient déjà actée, au point de faire couler le champagne dans un lieu géométriquement connoté, malgré tout cela il reste des motifs d'espoirs. Mais revenons un instant sur cet élément géométrique qui a été ce lieu de la victoire anticipée et qui ne fut abordé par personne à ma connaissance. Une rotonde, en géométrie, est un solide formé par l'adjonction de deux polygones : un, la base, avec deux fois plus d'arêtes que l'autre et unis par une bande alternée de triangles... et de pentagones. Quel plus bel endroit aurait pu choisir notre probable Président que ce lieu chargé de symboles ? Les ésotéristes ont du se régaler... nous finiront ce billet d'ailleurs avec l'un d'eux, mais autrement plus talentueux. La semaine est décisive à tous points de vue. La belle surprise qu'a été le ralliement du courageux Nicolas Dupont-Aignan redonne l'espoir de voir un camp patriote uni face aux mondialistes coalisés et leurs alliés qui pour certains n'ont mis que quelques minutes à se coucher. Il convient de s'arrêter sur ce geste et d'en mesurer toute la grandeur car nous sommes nombreux à l'estimer pour ce qu'il est réellement : historique. M. Dupont-Aignan a rompu la digue artificielle construite en partie par le FN originel, celui du père qui n'a eu de cesse de servir d'épouvantail et de diviseur au seul profit de la gauche mitterandienne et ses funestes héritiers, mais aussi en partie érigée par l'ensemble des médias pour parquer, contenir le vote patriote, l'amalgamer à des heures sombres en en faisant redouter fort malhonnêtement le retour. La culpabilisation, la repentance éternelle si bien incarnée par Macron, ont été les instruments du pouvoir pour empêcher tout rapprochement. Mais elle a vécue et en partie été mise en échec. Il est temps de leur répondre qu'ils ne nous font plus peur, que les intolérants c'est eux, que leur inversion accusatoire ne trompe plus. Cette ségrégation, cet apartheid politique orchestré par l'intégralité du système a volé en éclat avec le rapprochement entre Marine et Nicolas, ce dernier ayant ouvertement sacrifié sa carrière personnelle face à l'urgence de l'horreur de la perspective de l'élection du pion de la finance internationale, la marionette des élites. C'est suffisamment rare en politique pour le souligner, d'autant plus que l'homme a largement fait les preuves de son sérieux en administrant avec brio sa ville. Bien sûr il est consternant d'assister à cette chasse à l'homme moralisatrice, indécente par des condamnations révoltantes venant d'individus qui se sont tous accoquinés des années durant avec les pires ordures de la planète que sont les monarques islamistes du golfe, les mêmes qui ont armé idéologiquement les assassins de nos centaines de compatriotes ces dernières années. Les insultes de ces gens, ces soutiens de Macron, collaborateur lui-même d'un gouvernement qui s'est vautré dans les pires complaisances qui soient, n'ont aucune valeur, aucune légitimité et sont la démonstration de leur odieuse mauvaise foi. N'y allons pas par quatre chemins : s'abstenir ou voter Macron revient à laisser l'anti-France, ces promoteurs et acteurs de la destruction de notre pays, de ses valeurs et de son Histoire, triompher. Macron nie l'existence même de notre culture ; il va jusqu'à criminaliser le pays en dehors de ses frontières alimentant par là-même une rancœur chez certains de nos compatriotes. Cette sortie en Algérie a donné le ton de ce que serait le nouveau « moi Président ». Une semaine décisive. C'est souvent comme cela... si le monde a été crée en 6 jours, c'est aussi ce qui reste pour sauver le nôtre. Alors à Macron et en guise d'illustration sonore, voici deux œuvres, parmi bien d'autres, qui ont du lui échapper. Nous nous sommes presque habitués aux Présidents incultes, alors si nous pouvions mettre un terme à cette mauvaise série... Celle-ci s'appelle « Masques » et date de 1904. Elle est complexe, transgressive et énigmatique, à l'image de l'œuvre de Debussy dont l'héritage a inspiré tout un pan de la création musicale du 20ième siècle. Autre œuvre, le « Prelude de l'après-midi d'un faune », par l'orchestre Lutetia*. Debussy, génie de notre culture française est mort l'année de la victoire, en 1918, à Paris. Chacun y trouvera tous les symboles qu'il veut bien chercher. Une dernière pour la route, très célèbre :
Voir en ligne : http://www.agoravox.tv/IMG/jpg/billet-20-francs-1986--debussy.jpg

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