Le Tout nouveau testament : toute la propagande de la gauche en un seul film

Dès les annonces des financiers du film, on comprend qu'on a affaire à un film de propagande de la gauche : Union Européenne, Conseils Régionaux, CNC, etc., tous y ont participé. Le résultat est à la hauteur des espérances de la propagande de gauche : apologie de la zoophilie, de la théorie du genre, de l'adultère, de l'homosexualité, du meurtre, ridiculisation du christianisme, j'en passe et des pires. A bien réfléchir, il ne manque que la pédophilie, mais ce sera sans doute pour la suite.
L'idée de départ est pourtant bonne, voire géniale : la fille (cachée) de Dieu, maltraitée par celui-ci, aurait pour se venger diffusé à tous les humains la date de leur mort par SMS. De cette information naît des situations cocasses, loufoques ou tragiques, selon les cas. Tel enfant reçoit un message lui annonçant qu'il ne lui reste que 54 jours à vivre. Telle infirmière apprend qu'elle a moins à vivre que son patient pourtant beaucoup plus âgé qu'elle. Tel jeune apprend qu'il lui reste 62 ans à vivre et décide de mettre au défi cette date de mort en se suicidant dès qu'il le peut, mais chaque tentative rate, etc. Malheureusement cette idée géniale ne sert qu'à introduire l'idée que les idéaux de la gauche n'ont besoin que de cette date de mort pour se révéler, l'être humain se libérant enfin de ses chaînes idéologiques et morales : aller au travail, rester fidèle, élever sa famille etc. Barbant n'est-ce pas ? Alors le petit garçon à qui il ne reste que 54 jours à vivre décide qu'il veut devenir une fille. C'est son rêve, soi-disant. Devenu fille, avec la robe qui convient, il embrasse la fille de Dieu, dans un élan homosexuel non contenu. La femme riche qui s'ennuie avec son mari le trompe avec... un gorille ! Gorille qu'elle va chercher elle-même au cirque, après que la fille de Dieu lui ait révélé que "sa petite musique à elle" est une musique de cirque. Catherine Deneuve ruine par ce seul rôle toute une carrière d'actrice, on ne la félicite pas. Oser ainsi faire l'apologie de la zooophilie, embrasser goulûment un grand gorille et même coucher avec, et surtout présenter tout cela comme positif (car naturellement le mari est un sale con), c'est totalement répugnant. Le mari qui n'aime personne, ni sa femme, ni son fils, et qui passe sa vie à tuer (des mouches, des oiseaux, puis des hommes) va tomber fou amoureux d'une femme sur laquelle il va tirer mais qui va survivre car elle porte une prothèse. Ou comment la tentative de meurtre peut permettre de faire des rencontres ! Le célibataire endurci retrouve son amour de jeunesse dans une salle d'enregistrement du son de films pornos, et finit par coucher avec. Quelle originalité ! Quelle sensibilité ! Et là aussi, le porno rapproche les gens, et les fait s'aimer, voyez ! Dieu, incarné par Benoît Poelvoorde, est un être colérique, injuste, méchant et même sadique. En parlant de son fils Jésus, il explique qu'il a mal tourné, se dissociant totalement de lui (ce qui est évidemment contraire à l'enseignement chrétien). Il habite à Bruxelles, capitale de l'Union européenne, ce qui n'est pas un hasard puisqu'elle symbolise à elle seule toute une synthèse de cette décadence de gauche. Au final les personnages principaux représentent les 6 apôtres que la fille cachée de Dieu (clin d'œil à Mitterrand et à Mazarine ?) trouve pour écrire son "Tout nouveau testament", qui n'est en fait rien d'autre qu'un contre-Nouveau testament, et pour tout chrétien qui se respecte l'œuvre du diable (qui existe pour nous, mais pas pour la gauche). Et la sainte scène avec Jésus et les apôtres se voit ajouter 6 faux apôtres, pour constituer les 18, comme dans une équipe de baseball. Encore un blasphème de plus, mais on a le droit, c'est le christianisme, c'est même subventionné. Je n'ose imaginer le même film qui aurait modifié la moindre virgule dans la vie de Mahomet... L'islam n'est d'ailleurs pas totalement absent du film, puisqu'à la fin, sur la plage où se sont réunis des centaines de personnes pour mourir, on entend dans le fond un muezzin qui pousse son "Allah ouakbar". La totale. C'est la femme de Dieu, une potiche rêveuse, maltraitée toute sa vie par son mari, qui apporte une touche finale au monde, avec de la poésie dans le ciel, et qui supprime toutes les dates de mort. Un film ennuyeux, très long (près de 2 heures), et dont on a du mal à se remettre tant les images de Catherine Deneuve couchant avec un singe (et ayant un enfant de lui !), ou d'un petit garçon habillé en fille, font mal au cœur. Un film à ne conseiller que pour constater l'état de décadence absolue de l'Occident du fait du marxisme culturel qui tient quasiment tous les centres du pouvoir, y compris le cinéma et la télévision, donc. Tout cela payé par le contribuable, donc par nous tous, évidemment.
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