Trois mois de combats au Soudan entre l’armée et un groupe paramilitaire appelé le Rapid Support Force (RSF) [Force d’appui rapide] ont fait au moins 3 000 morts et 6 000 blessés. Plus de deux millions de personnes ont été déplacées au sein du pays, tandis que 700 000 autres ont fui vers les pays […]
Des archéologues effectuant des fouilles dans le Vieux Dongola au Soudan ont découvert les vestiges d'une grande église de la Nubie médiévale. Dongola était la capitale de Makuria, l'un des trois royaumes chrétiens de Nubie. Dongola a été fondée au Vème siècle en tant que forteresse, mais avec l'arrivée du christianisme au VIème siècle, le site s'est développé en un grand centre urbain. En 2021, l'équipe de recherche a découvert l'abside de l'église décorée de peintures (...)
Des archéologues effectuant des fouilles dans le Vieux Dongola au Soudan ont découvert les vestiges d'une grande église de la Nubie médiévale. Dongola était la capitale de Makuria, l'un des trois royaumes chrétiens de Nubie. Dongola a été fondée au Vème siècle en tant que forteresse, mais avec l'arrivée du christianisme au VIème siècle, le site s'est développé en un grand centre urbain. En 2021, l'équipe de recherche a découvert l'abside de l'église décorée de peintures (...)
À l'occasion du 35e anniversaire de la disparition de l'intellectuel et savant sénégalais Cheikh Anta Diop, "À l'Affiche !" accueille l'égyptologue béninois Jean-Charles Coovi Gomez et la chanteuse sénégalo-bissau guinéenne Poundo. Nous évoquerons avec eux l'héritage historique et culturel de l'oeuvre de Cheikh Anta Diop, avant de tenter de cerner son impact sur les artistes de la nouvelle (...)
À l'occasion du 35e anniversaire de la disparition de l'intellectuel et savant sénégalais Cheikh Anta Diop, "À l'Affiche !" accueille l'égyptologue béninois Jean-Charles Coovi Gomez et la chanteuse sénégalo-bissau guinéenne Poundo. Nous évoquerons avec eux l'héritage historique et culturel de l'oeuvre de Cheikh Anta Diop, avant de tenter de cerner son impact sur les artistes de la nouvelle (...)
Cette formule qui a fait date, est de l’écrivain français Anatole France. Elle est tirée d’une tribune du même nom, parue dans l’Humanité le 18 juillet 1922 pour dénoncer dans un bilan rétrospectif, l’absurdité de la Première Guerre mondiale. L’écrivain renommé est alors prix Nobel depuis quelques mois. Voici ce qu’il y écrit :
