Alors que la libération de la parole grandit en France, le législateur est sommé d'agir. De nouvelles voix de victimes de pédocriminalité et parfois d'inceste se sont élevées sur les réseaux sociaux sous le #MeTooAmnésie. Oubliés durant des années, les traumatismes ressortiraient des années plus tard. Le phénomène porte le nom de « mémoire traumatique » et il est utilisé aujourd'hui pour exiger l'imprescriptibilité des crimes sexuels. (...)
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