8e partie du #DisinfoGate. Vous pouvez consulter les sept premières ici : (1) De l’agence de gestion de crise à la réservation de chambres d’hôtels : l’étonnante galaxie DisinfoLab / Saper Vedere, (2) Les puissants partenaires de DisinfoLab – et leurs effets…, (3) Nicolas Vanderbiest, une certaine idée de la neutralité, (4) DisinfoLab dans le marigot bruxellois : influence et conflits d’intérêts à tous les étages, (5) Le retour de certaines “European Values” qu’on espérait à jamais disparues , (6) “Le Complot Russe permanent” vu par Disinfo et (7) Comment Disinfo a tenté d’influencer la présidentielle 2017
Nous avons vu que DisinfoLab n’avait pas réussi à intéresser les journalistes avec son étude sur “l’influence russe” durant la présidentielle 2017. Voyons comment cela a marché l’année suivante pour l’affaire Benalla.
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