Source : John Pilger, Consortium News, 20-10-2017
Le réseau télévisuel public australien a offert à Hillary Clinton une tribune libre pour répandre des diffamations sur Julian Assange, de Wikileaks, en le qualifiant d »’instrument du renseignement russe », sans que ce dernier n’aie l’opportunité de répondre.
Le 16 octobre, la Compagnie australienne de diffusion [Australian Broadcasting Corporation] diffusait une interview d’Hillary Clinton : une interview parmi tant d’autres en vue de promouvoir son livre-règlement de comptes qui explique pourquoi elle n’a pas été élue présidente des États-Unis.
Hillary Clinton à la conférence Code 2017 le 31 mai 2017.
Patauger dans le livre de Clinton, What Happened, [ce qui est arrivé, NdT] n’est pas chose agréable, c’est comme un mal de ventre. De la saleté et des larmes. Des menaces et des ennemis. On « leur » a fait un lavage de cerveau (aux électeurs) et montés contre elle par l’odieux Donald Trump, de mèche avec les sinistres slaves envoyés par la grande noirceur appelée Russie, avec l’aide d’un « nihiliste » australien, Julian Assange.Lire la suite
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