Pertinentes remarques du juriste Didier Hanne
Source : Slate, Didier Hanne, 13-11-2017
Le débat autour de la caricature symbolise parfaitement l’état délétère de l’opinion publique.
Charlie, avec ses défauts et ses qualités, est entré, un sale matin de janvier 2015, puis par l’effet d’une immense manifestation sans précédent, dans le patrimoine national et républicain. Depuis, Charlie n’appartient pas seulement à toutes les personnes qui y travaillent: il est à nous, peut-être est-il devenu nous. Désormais, si on touche à Charlie, on touche à la France et aux Françaises et Français. Et voici qu’à nouveau cet indispensable journal reçoit de terrifiantes menaces. On a décidément toutes les raisons de rester «je suis Charlie».Lire la suite
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