Source : Robert Parry, Consortium News, 11-09-2017
Reportage spécial : Franchissant la limite entre l’imprudence et la folie, le New York Times a publié un opus en première page suggérant que la Russie était derrière la critique des médias sociaux de Hillary Clinton, rapporte Robert Parry.
Par Robert Parry
Pour ceux d’entre nous qui ont enseigné le journalisme ou travaillé en tant que rédacteurs, le signe qu’un article est le produit d’un journalisme bâclé ou malhonnête est de faire d’un point clé un fait absolu alors qu’il n’a pas été prouvé, ou qu’il constitue un point de désaccord sérieux. Il devient ensuite la base d’autres revendications, construisant une histoire comme on construirait un gratte-ciel sur du sable.
Hillary Clinton, ancienne secrétaire d’ÉtatLire la suite
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