Comme on pouvait s’y attendre, la sensationnelle interview d’Ursula Haverbeck diffusée en mars et décrivant « l’Holocauste » comme un gigantesque mensonge provoque en Allemagne, selon les cas, un spectaculaire mouvement d’intérêt, d’espoir ou de colère. La police de la pensée, qui a d’abord choisi de pratiquer la politique du silence, s’est vue contrainte d’entrer en action. Ce 1er juin, elle a procédé à une perquisition de six heures au domicile de « la grande dame allemande ». Pour ceux qui lisent l’allemand, voyez « Die Meinungsdiktatur kennt keine Altersgrenze ». Les indices se multiplient d’un éveil des esprits dans le pays le plus scandaleusement chloroformé du monde par la religion de « l’Holocauste ». Les raisons de cet éveil peuvent tenir aux faits suivants :1) la chasse inhumaine aux nonagénaires dans leurs mouroirs ; puis leur transport en civière et avec le goutte-à-goutte jusque devant un tribunal ;2) la récente et cynique décision des autorités judiciaires en place de condamner SANS PREUVE et SANS TEMOINS (voyez le cas de John Demjanuk) : il suffira d’avoir été présent dans tel camp à tel moment pour être déclaré « complice » de l’assassinat de tant de personnes arrivées au camp à ce moment-là ; cet assassinat pourra, comme au procès de Nuremberg (1945-1946), être décrété « de notoriété publique » ; selon un usage vieux de 70 ans, aucune expertise médico-légale décrivant la scène de crime et l’arme du crime ne sera ordonnée ;3) la punition infligée aux avocats et, en particulier, à Sylvia Stolz, « la Jeanne d’Arc allemande », de défendre les prévenus avec trop d’ardeur ;4) la multiplication des mesures d’indemnisation en faveur des miraculés, et cela en un temps de grave crise financière et en dépit des sommes colossales déjà extorquées à l’Allemagne au titre des « réparations » ;5) le matraquage shoatique matin, midi, l’après-midi, le soir, la nuit, jour après jour, année après année, de l’école à la tombe, et même parfois au-delà de la tombe quand, par exemple, on se met à instruire le procès d’un mort qu’on avait négligé de condamner de son vivant. 6) Après une si longue discrétion sur le compte des atrocités infligées aux soldats et aux civils allemands en particulier durant l’agonie finale du IIIe Reich, le soudain déferlement d’ouvrages, de films ou de documentaires, insoutenables, sur les bombardements anglo-américains, sur les civils vivant dans les ruines comme des troglodytes ou brûlant vifs sous l’effet du phosphore, sur les viols commis non seulement par les Soviétiques mais aussi par les Américains, les Britanniques, les Français, sur les tortures et les massacres des prisonniers allemands, et tout cela de manière systématique et au mépris des « lois de la guerre ». 3 juin 2015
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