Les marchés en particulier et l'économie en général n'aiment pas du tout la volatilité. Alors qu'un certain ministre français (dont on espère volontiers qu'il ne touchera plus jamais aux affaires de la France) a parlé en toute tranquillité, d'une part de faire la guerre économique totale à la Russie, d'autre part de solliciter des "efforts" aux français face aux rétorsions inévitables de la superpuissance gazière, l'analyste économique et éditorialiste Olivier (...)
/
Economie,
Entreprises,
Prospective et futur,
Crise financière,
Olivier Delamarche
Source