Source : ACRIMED, Pauline Perrenot, 30-12-2019
« Cette fois, ça y est Nicolas [Beytout], nous y sommes : le mur du 5 décembre est là, devant nous. » Au matin du premier jour de mobilisation, d’une main tremblante, Matthieu Belliard pointait un iceberg du haut de la vigie d’Europe 1. Depuis, et face à l’ampleur de la grève et des manifestations, intervieweurs et éditorialistes réservent un accueil pour le moins chaleureux aux dissidents qui s’opposent à la « réforme » des retraites. « Haro sur les grévistes », tel est leur mot d’ordre.
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