Source : Consortium News, Dulcie Leimbach
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Dulcie Leimbach fait état de la réponse feutrée de la plupart des dirigeants de l’ONU face au meurtre de George Floyd, à la discrimination raciale aux États-Unis, aux manifestations ou à la réponse autoritaire de Trump.
Au beau milieu des couvre-feux à New York, des marches et des manifestations permanentes, des sirènes dans les rues et des hélicoptères qui vrombissent dans les airs, le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, n’est pas intervenu devant les médias pour s’exprimer directement et faire part de sa réaction concernant les manifestations qui éclatent dans les cinq dictricts et bien au-delà. Il s’est plutôt appuyé sur ses porte-paroles pour apporter des réponses.
Alors qu’à New York, les manifestants affluent dans les rues, les autoroutes, les places et les ponts pour exprimer leur solidarité et leur indignation face à la mort de George Floyd, un Afro-Américain tué par un policier blanc à Minneapolis le 25 mai, les Nations Unies, le phare mondial de « nous, les peuples », utilisent également les médias sociaux pour parler du récent mouvement en faveur des droits civiques qui se répand dans le pays qui abrite le siège des Nations Unies.Lire la suite
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