Max Gallo est mort hier, 15 mois après le décès de l’illustre faussaire Martin Gray auquel il avait servi de nègre. On voudra bien prendre connaissance, dans l’ordre chronologique, d’abord de deux articles, parmi d’autres, que je lui ai consacrés en 1983 et en 2002, puis d’un article que vient de lui consacrer Le Monde, journal oblique :Sur la difficulté et sur le devoir d’être vrai... Réflexions à propos de Max Gallo, de Martin Gray et de quelques autres (1er mai 1983) ;Le faussaire Max Gallo au service du faux témoin Martin Gray (24 janvier 2002) ;L’académicien, historien et écrivain Max Gallo est mort (19 juillet 2017).Quelle belle vie ! Que d’argent ! Que d’honneurs ! Quels hommages ! Un modèle – n’est-ce pas ? – de probité, de conscience et de courage. Il convient que le monde journalistique lui prodigue les marques de respect qui toujours s’imposent en pareil cas, ne fût-ce qu’au nom du « devoir de mémoire » et de la nécessaire édification des jeunes générations. 20 juillet 2017NB : Je me permets d’appeler l’attention du lecteur qu’intéresserait la personne de Martin Gray sur mon article du 19 mai 2016, Martin Gray, marchand de faux en tous genres, est mort.
Source