Source : Marjorie Cohn, Consortium News, le 29-05-2017
Le long supplice judiciaire de Julian Assange (et les menaces continuelles à l’encontre du fondateur de Wikileaks) tournent en dérision l’engagement supposé de l’Occident pour la liberté de la presse et le droit à savoir du public, comme l’explique Marjorie Cohn.
(mis à jour le 30 mai 2017, afin de supprimer la référence aux procureurs suédois qui n’ont jamais posé aucune question à Assange.)
Il y a près de cinq ans, l’Équateur garantissait au fondateur de Wikileaks Julian Assange l’asile politique dans son ambassade de Londres. L’objectif initial de l’asile était d’éviter une extradition aux États-unis. Deux ans auparavant, les autorités suédoises avaient lancé une enquête sur Assange pour agression sexuelle. La Suède a maintenant abandonné ces charges.
Le fondateur de Wikileaks Julian Assange. (Crédit photo : Espen Moe)Lire la suite
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