Un gospel à Noël pour Julian Assange

Le traitement médiatique de cette chanson n'aura pas lieu. Parce qu'avec le monde qui vient, Noël sera une tradition identitaire à éviter. Les chanteurs seront des racisés victimes de l'esclavage colonial. Le gospel, comme l'oncle Ben's ou Banania, sous une image sympathique, ne sera que la stigmate véhiculant le stéréotype du racisme structurel. Assange sera un mâle blanc de moins de cinquante qui a cru, avec sa notoriété acquise, pouvoir se laisser à des pulsions prédatrices contre la minorité sexuelle (...)

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Tribune Libre

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Musique,
Julian Assange

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