Source : Common Dreams, Alan MacLeod, 12-11-2019
Le message médiatique du cas bolivien est clair : un coup d’État n’est pas un coup d’État si nous en apprécions l’issue.
Sa politique a provoqué la grande colère du gouvernement américain, des entreprises occidentales et de la presse institutionnelle, qui fonctionnent comme les troupes de choc idéologiques contre les gouvernements de gauche en Amérique latine. (Photo : CBS/Copie d’écran)
Les généraux de l’armée apparaissant à la télévision pour exiger la démission et l’arrestation d’un civil élu chef d’État semblent être un exemple classique de coup d’État. Et pourtant, ce n’est certainement pas ainsi que les médias grand public présentent les événements du week-end en Bolivie.
NYT : Le leader bolivien Evo Morales démissionneQuand l’armée force le président élu à « démissionner » (New York Times, 11/10/19), il y a un mot de quatre lettres pour cela.Lire la suite
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