Quand Christophe Castaner était surnommé « Simplet » rue de Solférino

Voilà pourquoi Christophe Castaner est surnommé « Simplet » Extrait Boulevard Voltaire du 30 juillet 2017 " Parmi les sept nains de Blanche-Neige, c'est celui-ci qui a été choisi pour lui, de préférence à Atchoum et aux autres. Un sobriquet qui lui va très bien. Du temps où il traînait rue de Solférino, les collègues, les camarades de Castaner l'appelaient « Simplet ». La preuve que, chez les socialistes, on ne manquait quand même pas d'hommes et de femmes lucides et intelligents. Mais on pardonnait à Christophe Castaner d'être champion dans la catégorie « nigaud poids lourd ». Car, élu de Forcalquier, il était doté d'un bel accent des Alpes-de-Haute-Provence qui faisait merveille sur les plateaux de télévision. Il aimait parler. Il ne refusait aucune invitation des médias. Depuis qu'il a pris du grade et est devenu porte-parole du gouvernement, il est très demandé et lui, en vrai goinfre, en redemande. Con, En Marche et fier de l'être ! Christophe Castaner ne recule devant aucune bêtise, fût-elle énorme, devant aucune flagornerie. Écoutez le bruit que fait sa brosse à reluire sur les pompes d'Emmanuel Macron : « Je vais là où il me demande d'aller car j'ai pour lui de l'amour. » Informée de cette déclaration, Brigitte Macron a froncé les sourcils. Mais elle n'a rien dit. La flèche de Cupidon ayant transpercé Castaner, l'épouse du Président a compris l'extrême fragilité d'un grand blessé de l'amour. Ainsi encouragé dans ses élans amoureux, Castaner a persévéré et surenchéri. Et là, merci d'éloigner de l'écran les enfants et les chastes jeunes filles prépubères : « Macron, je l'ai rencontré quand il était encore à l'Élysée. Au bout de quatre minutes, je me suis dit “Waouh !”, des comme lui, on en rencontre un tous les cinquante ans. » Plus torride que ça, tu meurs… la suite sur le site : Boulevard Voltaire du 30 juillet 2017 Plus sérieusement, on peut bien se demander pourquoi des gens qui semblaient à même de tenir le poste du ministère de l'intérieur pour remplacer Gérard Collomb, n'ont finalement pas été nommés. Se reporter sur l'article ci-dessous : Christophe Castaner, « l'homme qui dit toujours oui » Extrait du point. fr 16/10/2018 Porte-parole d'Emmanuel Macron pendant la campagne électorale, puis du gouvernement - pendant quelques mois, secrétaire d'État des Relations avec le Parlement et en même temps délégué général de La République en marche... Le voilà désormais ministre de l'Intérieur. « Christophe, c'est l'homme qui dit toujours oui », s'amuse un proche d'Emmanuel Macron. N'était-il pas sur le point d'être la tête de liste aux européennes de 2019 ? N'a-t-il pas accepté de devenir le patron d'un mouvement macroniste encore bien adolescent ? N'aurait-il pas cédé aux sirènes de Marseille si le chef de l'État le lui avait demandé, cette ville pourtant acquise à Jean-Luc Mélenchon depuis l'élection présidentielle ? Quelle mission n'accepterait-il pas pour les beaux yeux d'Emmanuel Macron ? « J'assume cette dimension amoureuse », confiait-il au Point il y a tout juste un an. Surtout, il en rêvait jour et nuit de cette Place Beauvau aujourd'hui laissée vacante par un Gérard Collomb déjà absorbé par son avenir lyonnais, et où – au gré des rumeurs des derniers jours – l'on envoyait les experts Jean Castex ou Frédéric Péchenard. La suite sur le point : Gilet jaune blessé : Corbière (LFI) demande d'arrêter l'usage du LBD et la démission de Castaner

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