Mouna Izzdine, une journaliste "marocaine" supposée "arabe et musulmane" qui voyage en Israël et qui aime ce pays, et qui se lance dans des initiatives avec des sionistes dans un projet "Beneinou" entre nous en hébreu, pour combattre les dérives "intégristes" et favoriser le dialogue avec les sionistes. Célébrée par le CRIF, Mouna Izzdine peut désormais se considérer comme une bonne auxiliaire du peuple élu.Suite à l’article de Bernard-Henri Lévy Face à la marée noire du nouvel antisémitisme, voici ce qu’elle écrit à Arrik Delouya : « Je viens de parcourir l’appel de BHL : je me suis toujours demandé comme lui ce qu’attendent les Musulmans de France pour s’indigner contre cette montée de l’antisémitisme, de la même façon qu’ils le font contre l’islamophobie. Ils croient que ce n’est pas le même combat, ce sont des cons! Pire, je pense que se taire, c’est déjà être complice… Ceux qui crient au loup islamophobe oublient que c’est justement la république laïque qui les protège et leur permet d’exercer librement leur culte, mais que cette même séparation du clergé et de l’État permet de critiquer les religions et n’emmène pas en prison pour « blasphème ».Encore une victoire du sionisme face à une nation arabe déboussolée, veule, complice, stupide, corrompue et ignare.
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