Samedi 12 décembre, après avoir bravé la pluie et de nombreux points de contrôles, plusieurs milliers de personnes s'élançaient de la place du Châtelet, pour l'édition parisienne de la troisième Marche des Libertés. Encadrée de très près par un dispositif policier très important, dans une nasse géante, la foule était joyeuse et pacifiste. Mais les ordres de la préfecture étaient clairs : la police devait interpeller massivement, aveuglément, terroriser les militants pour éviter de potentiels (...)
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