La suspension des soignants est une perversion sadique

J'en appelle à la NUPES, à la NUPES j'en appelle, le conseiller du coin nous l'avait baillé belle en nous privant de soins quel que soit le besoin Vous allez défiler dans les rues de la ville, pour réclamer justice, argent et je n'sais quoi ; pouvez-vous en passant penser un peu à nous, nos soignants et nos soins. Depuis un an déjà on fait comme bon nous semble, pas grand chose il est vrai, on fait comme on le peut. Nos médecins voyez-vous n'étaient pas au chômage, ils avaient (...)

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Tribune Libre

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Vaccins,
Santé

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