Source : The Hill, Jonathan Turley, 06-07-2019
Par Jonathan Turley – Chroniqueur d’opinion
Les opinions exprimées par les collaborateurs sont les leurs et non celles de The Hill (et encore moins des Crises…).
Getty Images
Il y a juste un peu plus d’un an, le président français Emmanuel Macron est venu aux États-Unis pour y importer à Washington deux espèces potentiellement invasives. L’une était un arbre et l’autre était une répression contre la liberté d’expression. Ironiquement, peu après la plantation de l’arbre, les autorités l’ont déterré pour le mettre en quarantaine. Cependant, l’espèce la plus dangereuse était son fruit, le contrôle de l’expression, une proposition qui a entraîné les applaudissements les plus enthousiastes de la part de nos politiciens mal informés.Lire la suite
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