Les préparatifs se poursuivent pour fêter dignement les 12 ans de la forfaiture de Lisbonne, qui a eu lieu à Versailles au château bien au chaud. C'est le 4 février que députés et sénateurs godillots s'étaient assis sur la volonté populaire exprimée trois ans auparavant. Et c'est aujourd'hui Anne-Cécile Robert, membre du directoire du Monde diplomatique, qui y voit la conséquence d'un problème institutionnel en France. Mais pour une fois - et c'est pour cette raison que je relaye cette vidéo - son analyse va plus loin que celle du berger Bellon. En effet, elle semble s'être rendue compte que l'élection de masse n'est pas un moyen adapté pour désigner des représentants, et qu'il faut commencer à se poser la question : quel suffrage ? Car après tout, et si le problème était moins dans les institutions que dans la manière de désigner les gens qui nous y représentent ?
Voir en ligne : https://www.agoravox.tv/IMG/jpg/anne-cecile-robert--constituante.jpg
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