Le mouvement des Gilets jaunes va mal. Tourmenté par la crise économique qui s'annonce, et qui a déjà commencé pour certains, il ne peut connaître que le désespoir. Et pourtant, les problèmes de fond n'ont pas été résolus. Pire, ils sont sur le point d'être aggravés. On pense notamment au manque de représentation des classes populaires à l'Assemblée nationale. Cela oblige les Gilets jaunes, faute de représentation politique, à descendre dans la rue pour se faire entendre. Jean-Louis Bourlanges a été missionné pour proposer une évolution de la loi électorale, et ses conclusions vont à l'inverse de l'intérêt général. En effet, en compliquant encore le scrutin, en y ajoutant des listes de candidats, le député Bourlanges va non seulement à l'encontre des droits de l'homme, mais il dissout le lien déjà bien ténu entre les représentants et les représentés. Les députés ne sont déjà pas plus responsables que leurs électeurs, mais les scrutins de liste avec effets de seuil complètement arbitraires vont encore aggraver la situation. Et de toute façon ce Bourlanges est un ennemi de la France, tout comme ce misérable Macron missionné par Bildelberg pour détruire ce qui reste de notre pays. Et pourtant la France n'a pas encore accompli son destin, elle a besoin d'une rémission pour écrire les dernières pages de son histoire. Car les autres peuples, ceux qui nous survivront, seront toujours reconnaissants des concepts politiques que la France éternelle leurs aura légués.
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