Poutine sur l'affaire Navalny : si la Russie avait voulu l'empoisonner, il serait mort
Personne n'avait d'intérêt à empoisonner Navalny, a affirmé Poutine lors de sa conférence de presse annuelle.
Personne n'avait d'intérêt à empoisonner Navalny, a affirmé Poutine lors de sa conférence de presse annuelle.
Vladimir Poutine a rappelé que ce n'est pas la Russie qui se retirait d'accords internationaux et qui possédait tout un réseau de bases militaires à travers le monde. Répondant à une question d'un journaliste de la BBC, il lui a demandé pourquoi l'Occident prenait les Russes « pour des cons ».
Vladimir Poutine a rappelé que ce n'est pas la Russie qui se retirait d'accords internationaux et qui possédait tout un réseau de bases militaires à travers le monde. Répondant à une question d'un journaliste de la BBC, il lui a demandé pourquoi l'Occident prenait les Russes « pour des cons ».
Poutine bien plus respectueux que Macron, Merkel ou Trudeau de l'état de droit ! Il nous faut une vision française, une politique française, et celle-ci englobera une coopération forte avec la Russie ! Pour cela, face aux fraudes, engagez-vous ! Pour ceux qui ont raté l'épisode précédent :
Dans la Grande Interview, Pavel Zaroubine reçoit Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie.
Source : IRIS, Jean de Gliniasty, 17-01-2020
L’annonce de la démission du Premier ministre et du gouvernement russe, suivie par l’annonce de la réforme de la Constitution a amené à réfléchir sur la succession de Vladimir Poutine. Comment la Russie se prépare-t-elle pour l’après-Poutine ? Le point de vue de Jean de Gliniasty, directeur de recherche à l’IRIS.
Suite à la séquence militaire confuse il y a une semaine, au cours de laquelle un avion russe Il-20 a été abattu avec 15 personnes à son bord, la nouvelle chaîne « Guerre & Paix », spécialisée dans les questions internationales, est allée recueillir l’analyse d’Adeline Chenon Ramlat, journaliste, blogueuse, écrivain.
Source : Proche & Moyen-Orient, Guillaume Berlat, 28-05-2018
« La diplomatie ignore la sentimentalité » nous rappelle fort justement Stefan Zweig dès 1938. Or, les diplomates d’expérience le savent bien, une diplomatie réaliste tient compte de l’idéal chez les autres sans se laisser égarer par le sien, quand elle en a un.
Pour ceux qui aiment se faire le propre opinion en consultant directement les sources.
A écouter, comme d’habitude, avec recul et esprit critique…