Jean d’Ormesson, un jour de 1972, à propos de Robert Faurisson
Jean d’Ormesson vient de mourir. Nul doute que les panégyriques vont fleurir. Toutefois, peut-être, s’y glissera-t-il une réserve : par accident, l’académicien avait trouvé quelque mérite à mon A-t-on lu Lautréamont ? (NRF, Gallimard, 1972, 437 p.).