Le projet prévoit la scission du groupe en trois entités : d'un côté EDF bleu et EDF azur – deux entreprises publiques – pour les centrales nucléaires et les barrages hydroélectriques, et d'un autre EDF vert, coté en Bourse, pour la distribution d'électricité et les énergies renouvelables. Ses opposants dénoncent le risque d'un « démantèlement » et d'une hausse des tarifs de l'électricité
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