Droits de l'Homme

"Nous sommes dans une dérive dictatoriale... Qu'est-ce que cette oligarchie est en train de faire de la France ?"

Florian Philippot voit la manifestation organisée par Les Patriotes interdite par la préfecture la veille de la date annoncée. Une décision en contradiction avec les déclarations publiques du premier ministre Jean Castex. Une fois de plus le gouvernement a démontré que ses engagements publics étaient nuls et non avenus, c'est à dire sans valeur, aucune, puisqu'un membre du gouvernement s'autorise à renier sa parole à tout moment et sans aucune justification.

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Tribune Libre

La difficile relation de l’Amérique avec les normes internationales de protection des droits de l’homme, par Nat Parry

Source : Nat Parry, Consortium News, 30-03-2018
Les États-Unis ont de longue date eu une relation d’amour-haine avec les normes du droit international, menant d’un côté l’établissement des principaux accords sur les droits de l’homme tout en balayant d’un revers de la main les plaintes contre leurs propres abus, explique Nat Parry.

Les nominations entachées de torture rappellent qu’il n’y a pas eu de poursuites pour les abus de l’ère Bush

Source : Nat Parry, Consortium News, 14-03-2018
Les standards des droits de l’homme déclinants avec la révélation des nominations de Haspel et Pompeo sont les plus récents dans une longue liste d’échecs politiques qui incluent l’absence de poursuite de l’administration Obama contre les tortures pratiquées sous l’ère Bush, remarque Nat Parry.

Olivier Rey : « Le discours sur les droits de l’homme est devenu fou »

Source : Le Figaro, Alexis Feertchak et Vincent Tremolet de Villers, 05/08/2016
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN – Le philosophe et mathématicien Olivier Rey a accordé au FigaroVox un entretien fleuve. Nous surchargeons l’édifice social de tourelles sociétales et postmodernes au point qu’il risque de s’écrouler, explique-t-il.

L’hypocrisie américaine des « Droits de l’Homme », par Todd E. Pierce

Source : Todd E. Pierce, Consortium News, 27-07-2017
Bien avant l’arrivée de Trump à la présidence, le gouvernement américain se moquait déjà des « droits de l’homme », condamnant les abus commis par les États adverses, mais gardant le silence sur les crimes commis par les agents américains ou leurs alliés, explique Todd E. Pierce.