Regain de tension entre Rome et Bruxelles après le retour sur scène des controversés « Mini-bots ».

Par l’Équipe Les-Crises

Un énième symptôme de la désintégration européenne ?
La situation économique de l’Italie, troisième économie au sein de la zone euro, fait planer le risque d’une désintégration de l’union monétaire, voire même le spectre d’une nouvelle crise de la zone1Reuters, Le FMI évoque des risques encore « très sérieux » en zone euro. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_1").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_1", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); , ravivant les tensions diplomatiques entre Rome et Bruxelles. Il s’agit du pays ayant contracté la plus forte dette après la Grèce, celle-ci avoisinant 2 300 milliards d’euros, soit 132 % de son PIB. Si l’on compare la situation de la Grèce en 2009 au moment de sa crise budgétaire avec celle de l’Italie actuelle, le taux d’endettement dépasserait le seuil critique au point de devenir insoutenable. À titre d’exemple, « les seuls intérêts de la dette coûtent à l’Italie environ 65 milliards d’euros chaque année, soit l’équivalent du budget de l’éducation »2Antoine d’Abbundo, Pourquoi la situation économique en Italie inquiète. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_2").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_2", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); .

Italy Government Debt to GDP – 2018Lire la suite

Source