Source : The Nation, Stephen F. Cohen,
Aspects peu remarqués du premier volume du rapport Mueller.
Le directeur du FBI, Robert Mueller, lors de sa prestation de serment au Capitole le 13 juin 2013. (AP Photo / J. Scott Applewhite)
Le « Rapport d’enquête sur l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016 » en deux volumes du procureur spécial Robert S. Mueller III n’est pas d’une lecture facile – il ressemble à ces notices qui accompagnent les jouets de Noël « faciles à assembler ». Néanmoins, compte tenu des effets extrêmement dommageables que le Russiagate a eus sur l’Amérique en interne et à l’étranger depuis près de trois ans, le rapport sera longuement examiné pour ce qu’il révèle et ne révèle pas, ce qu’il inclut et n’inclut pas.
En raison de mon intérêt particulier pour la Russie, j’ai lu attentivement le premier volume, celui qui met l’accent sur le rôle présumé de ce pays dans ce scandale. J’en suis sorti avec autant de questions sur le rapport que sur le rôle de Moscou et celui du candidat puis président Donald Trump. Pour n’en citer que quelques-unes :Lire la suite
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