La prospective à moyen et long terme n'a aucun sens, comme nous l'enseigne Nassim Taleb dans son livre Le Cygne Noir. Mais à court terme, elle peut avoir du sens, c'est pourquoi nous allons tenter l'exercice, en nous basant sur les faits connus en ce 1er janvier 2016. Attention, ça risque de piquer un peu les yeux.
1- L'invasion arabo-musulmane va continuer et s'amplifier L'Allemagne annonce fin 2015 avoir accueilli 1,1 millions de réfugiés uniquement en 2015. Ce sont 1,1 millions de problèmes en plus pour elle à gérer. Hitler avait fait naître le nazisme, ce poison qui a ruiné l'Allemagne, l'Europe et le reste du monde. Merkel a fait naître l'invasion musulmane, qui va ruiner l'Allemagne, l'Europe et le reste du monde. En plus, le rythme devrait s'accélérer en 2016, notamment à partir d'avril selon cet expert : Et d'après un autre expert, l'hiver devrait voir le déroulement d'une série d'horreurs, cambriolages, viols et intrusions dans les maisons allemandes par des réfugiés en recherche de nourriture, de chaleur et de sexe (la plupart sont des hommes jeunes et seuls).L'appel d'air créé par Merkel poussera ainsi beaucoup d'arabo-musulmans souhaitant coloniser l'Europe à le faire, et parmi eux nombre de terroristes en puissance naturellement. Et par conséquent les attentats islamiques vont se multiplier, notamment dans toute l'Europe, renforçant ainsi les tensions au sein des populations européennes, et accélérant la venue de la guerre civile, raciale et religieuse. Car en réponse à ces attentats et à cette islamisation, les patriotes français vont commencer à sérieusement répliquer, comme on a commencé de le voir en Corse fin 2015. On ne voit pas ce qui pourrait freiner ni même empêcher cela désormais, ce n'est qu'une question de temps, car le ver est dans le fruit, et aucun dirigeant politique n'est capable de prendre les décisions qui s'imposent. On peut même décemment anticiper un attaque coordonnée sur toute l'Europe, avec des milliers de morts à la clé, via des attaques bactériologiques ou d'une autre nature. Le nucléaire sera sans doute pour plus tard. Aux Etats-Unis seul Donald Trump a eu des paroles justes, en voulant interdire la venue de tout musulman aux Etats-Unis, mais aucun homme politique européen, sauf Geert Wilders (qui l'avait dit bien avant lui), n'est sur cette position pourtant raisonnable. Si on vous donne un bol de M&M's en vous disant qu'un seul est empoisonné, vous n'acceptez pas le bol, ni même de choisir un M&M's au hasard. Vous déclinez poliment. Les états doivent faire de même, mais en Europe il est trop tard, même le FN n'est pas anti-islam. 2- La nomination de Donald Trump comme candidat républicain, puis son élection à la présidence américaine en novembre 2016 Donald Trump écrase littéralement la primaire républicaine depuis six mois, et rien ne semble pouvoir l'arrêter (sauf son assassinat évidemment, qui est tout à fait possible). Sa nomination en tant que candidat républicain aux primaires ne fait quasiment plus aucun doute, alors que nous sommes à quelques semaines du début du scrutin. Et même si la route est encore longue, on voit mal comment le magnat de l'immobilier multi-milliardaire pourrait perdre, lui qui a passé sa vie à gagner. Ensuite, face à Hillary Clinton, une criminelle en puissance, il gagnera à une écrasante majorité, car jamais dans l'histoire un candidat républicain n'a reçu autant de soutien à la fois des républicains, mais aussi des minorités (noires, juives, latinos notamment) et... des démocrates eux-mêmes ! Une élection à 60/40 n'est pas à exclure, tant Clinton pourrait être humiliée par l'ouragan Trump qui emporte tout sur son passage. L'oligarchie américaine pourrait décider de lancer un autre candidat républicain dans la course, dans le but de faire perdre Trump, mais le peuple américain n'en serait que plus déterminé à le faire élire, et à renvoyer l'oligarchie dans ses buts. Cette élection de Trump serait de nature à changer la donne au niveau mondiale : une véritable détente entre la Russie et les USA, un durcissement des relations entre les Etats-Unis et les pays arabo-musulmans, une destruction totale et rapide de Daesh, un retour de la croissance de l'économie américaine, une baisse importante de la dette, bref, un retour des Etats-Unis au premier plan. 3- Le jeu bidon des partis pour continuer de faire couler le bateau France Avec les régionales, nous avons eu un très bon exemple du subterfuge de l'oligarchie pour mener en bateau les Français, et continuer de leur faire croire que nous serions en démocratie, alors qu'il n'en est rien. Comptez sur eux pour continuer à jouer le même jeu, dont ils sont les seuls gagnants, et dont les perdants sont les Français. Le marxisme va accélérer son emprise sur notre pays, puisqu'Hollande nourrira la crainte légitime de perdre les élections en 2017, il essaiera donc de faire passer un maximum de lois liberticides et socialisantes, tout en plaçant ses copains à tous les postes possibles et imaginables de la République. Incapable et castrée depuis Giscard, la droite française laissera faire, de crainte d'être qualifiée de raciste, de fasciste ou de nazie par une gauche décomplexée grâce au FN depuis 40 ans. Le FN continuera ainsi à jouer son rôle de repoussoir, divisant la droite, et la faisant passer pour "gentille", brouillant ainsi les cartes et faisant perdre aux Français le sens des priorités. Il continuera à faire croire que nous sommes en démocratie, en préparant l'élection présidentielle de 2017 qu'il n'a pourtant aucune chance de remporter. Au lieu de cela, il pourrait mobiliser ses militants pour renverser la tyrannie LRPS, par une subversion médiatique notamment, mais il n'en fera rien. Au contraire, il continuera à être toujours plus marxiste, et à composer avec l'islamisation (tout en paraissant lutter contre, il faut bien maintenir les apparences, pour espérer des voix). Le peuple français, abruti par 70 ans de propagande marxiste dans les médias, à l'Education nationale et à l'Université, restera apathique et s'il réagit, ce sera pour condamner les actes de bravoure contre la décadence, qu'il qualifiera d'ignoble, ou pire. Comme en 1940, nous aurons une majorité de collabos dans le pays, et les résistants se compteront sur les doigts d'une main. Conclusion Bref, préparez-vous pour le pire, car il ne déçoit jamais.
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