Ce samedi 7 avril, l'Autrichien Gerd Honsik est mort en Hongrie, où il avait trouvé refuge. Il a cher payé son courage à se proclamer révisionniste notamment dans son magazine Halt.Condamné à plusieurs reprises à des peines de prison, il a trouvé refuge en Espagne jusqu'au 24 août 2007 où il a été arrêté à Malaga à la suite d'un changement approprié de la législation espagnole. Le 4 octobre 2007, il a pu être extradé vers l'Autriche pour y accomplir une peine d'emprisonnement prononcée en 1992. Le 27 avril 2009, il a été condamné à cinq ans de prison (plus tard réduits à quatre ans).Lors de son dernier procès il s'est vu refuser le droit de se défendre en invoquant des témoignages et des preuves que la cour avait tenus pour « hors sujet ». Il en avait, paraît-il, crié et tapé du poing, annonçant qu'il interjetterait appel. Le procureur avait répliqué que, pour sa part, il réclamerait une peine de vingt ans de prison.En Allemagne et en Autriche il y a beau temps que, lorsqu'il s'agit de juger des révisionnistes ou d'anciens « nazis », les magistrats ne se soucient plus du droit ou de l'administration des preuves. En France, quelques-uns de nos magistrats commencent à afficher le même cynisme. « A ce compte, pourquoi poursuivez-vous le combat révisionniste sur le terrain judiciaire ? » me demandent certains Français. Ami lecteur, si vous connaissez l'histoire de Gerd Honsik et de tant d'autres vrais révisionnistes qui sont descendus dans l'arène, vous devinerez toutes les réponses possibles que mérite une telle question.10 avril 2018
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