Le New York Times se moque du scepticisme sur le sarin en Syrie, par Robert Parry
Dans la lignée des analyses de Seymour Hersh d’hier, nous poursuivons notre série sur l’attaque à Khan Cheikhoun, avec des analyses à contre-courant – aujourd’hui une triplette du grand journaliste d’investigation Robert Parry.
Comme d’habitude, s’il est indispensable de disposer de telles analyses venant d’analystes sérieux, il convient aussi de les lire avec une grande prudence et beaucoup de recul. Quelle que soit la qualité des analystes, ils peuvent aussi avoir tort.