L’annexion de la Crimée : chronique des événements. Par Ukrinform
Un petit rappel historique, toujours utile.
Un petit rappel historique, toujours utile.
Source : Edouard Vuiart, Les Crises, 29-04-2019
Le 21 octobre 2000, il y a déjà près de vingt ans, le journaliste Jacques-Marie Bourget était grièvement blessé par un tir de sniper israélien sur la Grand-Place de Ramallah. Échappant de peu à la mort et malgré de lourdes séquelles, il se lança dans un combat judiciaire qui, encore aujourd’hui, reste inachevé…
Billet en hommage aux livres de Jean-Claude Michéa (son fameux L’enseignement de l’ignorance (ou ici)) et de Jean-Paul Brighelli (La fabrique du crétin), que nous ressortons…
Le 8 mai 1945, tandis que la France fêtait la victoire, son armée massacrait des milliers d’Algériens à Sétif et à Guelma. Ce traumatisme radicalisera irréversiblement le mouvement national.
Désignés par euphémisme sous l’appellation d’« événements » ou de « troubles du Nord constantinois », les massacres du 8 mai 1945 dans les régions de Sétif et de Guelma sont considérés rétrospectivement comme le début de la guerre algérienne d’indépendance. Cet épisode appartient aux lignes de clivage liées à la conquête coloniale.
François Broche, l’auteur d’un nouveau et remarquable livre sur la bataille de Bir Hakeim[1], est le fils d’un officier qui avait rejoint la France Libre, le lieutenant-colonel Broche, qui a levé le Bataillon du Pacifique, et qui est mort dans ces combats. Le livre qu’il a écrit, après de nombreux autres, est une histoire à hauteur d’hommes (et de femmes[2]) de ces 16 jours de combats acharnés. Pour ce faire, l’auteur a collationné et recueilli depuis maintenant près de 50 ans de très nombreux témoignages, du général au simple soldat.
(version anglaise et russe du billet précédent)
Source :Wikipédia
Le Plan de constitution girondin, présenté à la Convention nationale les 15 et 16 février 1793 par Nicolas de Caritat, ci-devant marquis de Condorcet, se compose de trois parties :
Edmund Burke (1729 – 1797) est un homme politique et auteur britannique. Outre son ouvrage sur la Révolution française, qui a assuré sa célébrité posthume, on lui doit notamment un ouvrage de philosophie esthétique.
Cet article est tiré de l’excellente Revue Books (02/19), que nous vous recommandons (lire ici, et newsletter ici) :
Le Prix du livre du journalisme 2019 des Assises Internationales du Journalisme de Tours a récompensé le livre de journaliste qui a le mieux interrogé le journalisme et sa pratique cette année. Il a été attribué à “Berlin, 1933” de Daniel Schneidermann,
C’est un très beau livre que je vous recommande vraiment si vous aimez l’histoire et/ou les médias…. Olivier Berruyer