Crise Sociale

Fatima E. : « Je ne voulais pas craquer devant les enfants »

Une information complémentaire face à la polémique du moment, très peu relayée – à prendre, bien entendu avec prudence et recul. Nous vous laissons en débattre (sans invectives en commentaires, sous peine de suppression directe)
EDIT : au vu des échanges, de petits rappels très utiles de l’Observatoire de la la laïcité :

14 novembre 2005 : Jacques Chirac réagit aux émeutes dans les banlieues

En hommage au Président Chirac, j’ai voulu faire original, en ressortant ce discours du 14 novembre 2005, prononcé à l’occasion des émeutes dans les banlieues.
J’ai toujours trouvé qu’il était intéressant, car il ne se contentait pas de défendre le retour de l’ordre, et il tentait également d’apaiser et de rassembler le pays.
Quand on voit ce qu’est devenue la politique en 15 ans, le débat public, les médias, les réseaux sociaux, on mesure à quel point la division est devenue un cancer minant la cohésion nationale.

La bourse, les banques et les citoyens en colère. Par Nomi Prins

Source : Consortium News, Nomi Prins, 31-12-2018
31 décembre 2018
La « reprise » économique de l’après-grande crise de 2008 a été largement réservée aux acteurs des marchés financiers, et non à la majorité de ceux qui travaillent de longues heures et occupent plusieurs emplois, écrit Nomi Prins.
L’inégalité s’aggrave dans le monde.

“Les oubliés de la République”. Par Jean-Michel Naulot

Source : JDD, Jean-Michel Naulot, 04-03-2019
Jean-Michel Naulot, ancien membre du collège de l’Autorité des marchés financiers, répond à la philosophe Dominique Schnapper. Pour lui, la crise des Gilets jaunes n’est pas seulement l’expression de l’individualisme, comme affirmait l’intellectuelle, mais surtout le cri de révolte des classes moyennes et populaires face aux inégalités.