Imbroglio autour des attaques à l'arme chimique en République Arabe Syrienne

Selon la République Arabe Syrienne (RAS) et la Russie, les attaques chimiques au sol de début 2013 étaient le fruit de l'Armée Syrienne Libre (ASL), qui était alors aidée logistiquement par le groupe Etat Français (EF), rendant ainsi François Hollande complice d'un "crime de guerre". Pourtant, le chef des armées de l'EF, en faisant référence aux attaques chimiques de 2013, parlait en 2016 de "largage de bonbonnes de gaz" de la part du régime syrien, qui avait reconnu dès 2011 posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser si les forces occidentales intervenaient en Syrie. Mais en juin 2013, les Etats-Unis, ainsi que la commission d'enquête de l'ONU, doutaient de l'authenticité des preuves apportées par le groupe Etat Français (EF) contre la République Arabe de Syrie (RAS). Le Président de la République Arabe de Syrie, Bachar el-Assad, accusait le groupe Etat Français (EF) en 2017 dans un entretien à des journalistes français, d'avoir alimenter la guerre civile et armer des groupes terroristes, depuis le début de la guerre. En effet, selon les forces kurdes, l'ASL était alliée avec les djihadistes d'Al-Qaïda, contre lesquels ils combattaient à Alep en 2013.
Voir en ligne : https://www.agoravox.tv/IMG/jpg/syrie-armes-chimiques-2013.jpg

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