Source : Consortium News, Jonathan Cook, 12-04-2019
Selon Jonathan Cook, l’une des rares grandes personnalités de notre époque a été réduite à rien de plus qu’un parasite sexuel qui n’a pas respecté les termes de sa libération conditionnelle.
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Depuis sept ans que Julian Assange s’est réfugié à l’ambassade équatorienne de Londres, on nous répète que nous avons tort et que nous sommes des complotistes paranoïaques. On nous a dit qu’il n’y avait aucune menace réelle d’extradition d’Assange vers les États-Unis, que tout ça n’était que le fruit de notre imagination fiévreuse.
Depuis sept ans, nous avons dû écouter un chœur de journalistes, de politiciens et de soi-disant experts nous dire qu’Assange n’était qu’un homme fuyant la justice, et qu’on pouvait se fier aux systèmes judiciaires britannique et suédois pour traiter son cas de façon parfaitement légale. Pendant tout ce temps, c’est à peine si une seule voix du « courant dominant » s’est élevée pour prendre sa défense.Lire la suite
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