Les fourmis (effets des ondes de téléphone portable et reportages)

En 2013, plus de 12 000 espèces ont été répertoriées, mais il en reste probablement des milliers encore à découvrir. Famille cosmopolite (elle a colonisé toutes les régions terrestres à l'exception du Groenland et de l'Antarctique), elle atteint une grande densité dans les milieux tropicaux et néotropicaux. Bien que les fourmis représentent moins d'un pour cent des espèces d'insectes, la masse de la myrmécofaune excède le poids de l'humanité et cette masse conjuguée à celle des termites représente le tiers de la biomasse animale de la forêt amazonienne.
Effets des ondes de téléphone portable sur les fourmis : À Bruxelles, des chercheurs du Département de Biologie ont dévoilés une étude sur l'impact des ondes GSM sur les fourmis. D'après une expérience, réalisée sur plusieurs colonies de fourmis exposées aux ondes d'un téléphone portable, ces insectes sociaux sont fortement touchés par les rayonnements électromagnétiques émient par nos GSM. Dans la famille technique de la téléphonie mobile, du Wifi, du Bluetooth et des téléphones DECT, la structure physique de l'émission est triple :

1/ une hyperfréquence, ou micro-onde,
2/ une gamme d'extrêmement basses fréquences,
3/ une multipulsation chaotique, c'est-à-dire sans résonance de rythmes Les micro-ondes et les très basses fréquences présentent une toxicité (par la production de protéines de stress et par résonance avec les fréquences cérébrales) mais la plus forte est celle des saccades : là, le désordre a la forme de "micromitrailleuses" électromagnétiques. Cela suffit non seulement pour désorganiser les processus physiologiques mais même pour décomposer des structures biochimiques. Ce désordre est cause d'agressions physiologiques primaires, dont 4 principales :

– la perte d'étanchéité de la barrière sang-cerveau (hémato-encéphalique),
– la perturbation de production de la mélatonine et de l'acétylcholine,
– la déstabilisation des régulations membranaires,
– les dommages génétiques. Rapports scientifiques : http://www.robindestoits.org/3-La-science_r14.html C'est pas sorcier : Fred et Jamy nous emmènent observer les fourmis. Leur camion prend la direction de Mulhouse et s'arrête dans une forêt de conifères où vivent des fourmis des bois. Fred nous dévoile les caractéristiques d'une fourmilière et de ses habitantes. Cet insecte, appelé hyménoptère existe depuis des millions d'années. En France, on en a dénombré au moins 180 espèces différentes.
Nous verrons comment les colonies de fourmis s'organisent et se reproduisent grâce à leur reine, et quel est le rôle écologique joué par les fourmis des bois qui se nourrissent essentiellement d'insectes. Au vivarium, Fred nous montre le travail des fourmis "fourrageuses" chargées d'alimenter leurs colonies.
Nous parlerons également des fourmis plus redoutables comme les "champignonnistes" ou les "magnans" d'Afrique. Puis, nous irons dans un laboratoire de Toulouse où on étudie la fourmi d'Argentine qui élève des pucerons pour les "traire". L'organisation secrète des fourmis : Outre leurs performances individuelles extraordinaires et l'organisation précise du travail au sein de leurs sociétés, les fourmis ont des facultés de communication étonnantes.
Voir en ligne : http://www.agoravox.tv/IMG/jpg/fourmis-pas-sorcier.jpg

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