Jerome Rodrigues

« Au sujet des violences policières du 1er mai 2019 »

Après bientôt six mois de la plus grande mobilisation politique et sociale que la Ve République ait connu, cette journée du premier mai confirme la dérive autoritaire du pouvoir. Non content d’abuser de son « monopole de la violence » chaque jour moins légitime, l’État incarné par le roitelet Macron et son ministre de la répression ont osé, une nouvelle fois, propager des « fake news » gravissimes par l’intermédiaire d’un certain nombre de médias.