Etat d'Urgence

Venezuela, juin 2017 : Incendie du Tribunal Suprême de Justice, poursuites contre la procureure générale. Que se passe-t-il vraiment ?

Le 13 juin, un groupe armé de cocktails Molotov incendie un bâtiment du Tribunal Suprême de Justice à Caracas
Le 13 juin 2017, des manifestants cagoulés ont incendié un bâtiment du Tribunal Suprême de Justice du Venezuela à Caracas, à coups de cocktails Molotov. Le 21 juin, les membres de ce même Tribunal Suprême de Justice ont autorisé des poursuites contre la procureure générale du pays, Luisa Ortega Diaz.

Manifestation du 18 mai place de la République : le peuple et la police dans une convergence révolutionnaire ?

Deux syndicats de Police, de gauche (CGT Police) et de droite (Alliance), ont dénoncé la manipulation de certains groupes de casseurs par le gouvernement, et la stratégie de pourrissement et de montée des tensions orchestrée par le ministère de l’Intérieur et le préfet de police de Paris.

N’y a t-il pas atteinte à l’intégrité territoriale ? Même à noël, la Constitution n’est pas modifiable.

La Constitution est le texte fondateur qui organise les pouvoirs, mais surtout qui en détermine les limites. Certes, elle n’est pas parfaite, mais elle est surtout écrite par ceux, justement, qui devraient la craindre. Le gouvernement, sous le prétexte du risque terroriste et de la nécessité sécuritaire, contexte qu’il a lui-même engendré, souhaite modifier notre Constitution. Quel meilleur moment que […]

Pétrole, nucléaire et trafic d’armes : entretien avec Nicolas Lambert autour du « Maniement des Larmes », jusqu’au 20 décembre au théâtre du Parquet à Paris

Nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec Nicolas Lambert au sujet du « Maniement des Larmes », troisième volet d’une série de pièces consacrées à ce qu’il considère comme les principaux rouages de l’a-démocratie, ou, autrement dit, les mécanismes les moins démocratiques de notre machinerie politique nationale.

Conséquences de l’état d’urgence : un citoyen belge placé en centre de rétention pour migrants

L’instauration de l’état d’urgence en France, à la suite des attentats du 13 novembre dernier, a donné aux « forces de l’ordre » une grande latitude pour appliquer les règles sécuritaires qui en ont découlé: perquisitions intempestives, arrestations arbitraires, plus grande fermeté, voire violence, de la part des officiers assermentés de la force publique.